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Deejo x tin-tin: La collab qui encre le plus tranchant des tatoueurs sur le plus tatoué des couteaux.

01/05/2023

Quel est le point commun entre Beyoncé, Jean-Paul Gaultier, Yannick Noah, Lio, Florent Pagny, Marc Jacobs, Kad Merad et Deejo ? Tous sont passés dans les mains expertes de Tin-Tin, le tatoueur que l’on ne présente plus. 

Fort d’avoir hissé le tatouage au rang d’un art majeur, notamment au travers du « planétarium » qu’il organise chaque année à Paris, célèbre pour la qualité exceptionnelle de ses créations, Tin-Tin inaugure en mai 2023 avec Deejo une collection exclusive qui illuminera pour 6 mois les lames du plus tatoué des couteaux.


La marque française de coutellerie s’enorgueillit de cette collaboration qui souligne mieux que jamais son admiration pour cet art séculaire qui lui est cher. Et si depuis son lancement en 2014 Deejo n’a eu de cesse de coller au plus près des tendances que lui inspiraient les tatoueurs du monde entier, jamais ses couteaux n’avaient été en de si bonnes mains. Car si Tin-Tin est de ceux qui ont su si bien accompagner la démocratisation de cet art primitif devenu populaire, « l’ours de Pigalle », « le ténor de l’épiderme » n’en reste pas moins fidèle à son exigence de perfection. 

Tatouage exclusif "Le serpent"

Tin-Tin nous fait l’honneur d’un tatouage exclusif pour habiller la lame de nos modèles de poche, que l’on prendra un malin plaisir à personnaliser sur le configurateur en ligne MyDeejo ou à l’atelier Deejo (6 rue des filles du Calvaire 75003 Paris).


Cette fine lame décorée d’un serpent sera à retrouver pendant toute la durée de l’opération sous sa plus belle déclinaison, tout de titane noir vêtu et ornée d’une splendide plaquette en bois d’olivier, auprès de Tatouage Magazine, l’instigateur de cette magnifique collaboration, ainsi que des nombreux revendeurs des couteaux Deejo à travers le monde.

Set de 6 Deejo de table, dragon

La preuve en images avec ce superbe dragon que Tin-Tin s’amuse ici à décliner pour Deejo sur les lames d’un set de 6 couteaux de table, jouant magnifiquement de cadrages plus ou moins serrés afin de mieux en apprécier la richesse et les détails.

Un Deejo imaginé par Tin-Tin cela n’arrive pas tous les jours : il n’appartient qu’à vous d’en profiter pour toujours.

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La petite histoire du tatouage

Longtemps marginal, le tatouage n’est plus l’apanage des malfrats ou des voyageurs au long cours. Pratiqué à toutes les époques et dans le monde entier, l’art du tatouage (du polynésien « Tatau ») remonterait à -1300 avant JC. Il s’agissait alors de colorier la peau pour marquer les étapes importantes de sa vie. 


Au moyen âge et jusqu’à la fin du XIXème siècle, le tatouage, considéré comme un symbole païen, est interdit par l’église partout en Europe. Il est alors surtout l’apanage des marins et des prisonniers, plus particulièrement en Russie où les détenus n’hésitent pas à détailler sur la peau leurs faits d’armes criminels… 


Le tatouage, longtemps pré carré des gangs et des mauvais garçons, s’installe dans la pop culture à partir des années 80, alors promus par des stars de la musique du rock, du punk, puis du rap.

Tatouage magazine

Cette collaboration n’aurait pas pu voir le jour sans Tatouage Magazine et ses 2 fondateurs, amis et associés, Jérôme Pierrat et Mikael de Poissy qui ont proposés à Deejo de fédérer au cours des 2 prochaines années 12 des plus célèbres tatoueurs au monde autour d’une collection exclusive qui verra décliner tous les 2 mois le talent de ces artistes hors normes sur les lames des couteaux Deejo. Deejo et Tatouage magazine vous donnent rendez-vous dans chaque numéro et sur leurs sites internet respectifs pour découvrir les coulisses de cette collection exceptionnelle.